Écrire des scénarios (oui, oui on peut rajouter le "S", n'en déplaise aux puristes), est une autre façon d'écrire... Différente, mais non moins créative, non moins intéressante, et qui reste "écrire"... Il faut inventer une histoire, faire en sorte que les personnages aient une certaine densité et la profondeur requise, leur donner des enjeux, travailler l'intensité dramatique...Mais, contrairement au roman, il ne faut surtout pas se laisser embarquer par les personnages. Il faut garder la main...
La production en Corse commence à prendre de l'ampleur, et on a pu voir sortir, ces quelques dernières années, des films de qualité. Plusieurs sociétés de production, très professionnelles, existent désormais, à l'image de CORSESCA Production, dirigée par Pierre Pancrazi, et basée à Lucciana, grâce à laquelle vous pouvez aujourd'hui découvrir "La faille du Diable", un scénario de 26 minutes, inspiré d'un fait historique (la présence des carbonari en Corse dans les années 1830), et traité comme un polar ésotérique. Cette collaboration débouchera également, dans les deux prochaines années, sur la production d'un long métrage.
Corsesca Productions a, entre autres, gagné ses lettres de noblesse en co-produisant "L'homme de Londres", réalisé par Bela Tarr en 2006, et qui fût tourné, on s'en souvient, sur le Vieux-port de Bastia. Ce film a d'ailleurs été nominé au Festival de Cannes en 2007.
Récemment, l'équipe de Pierre Pancrazi a aussi produit un moyen métrage salué par la critique, "Assassins", écrit et réalisé par Laurent Simonpoli, le premier film que l'on ait osé faire sur la guerre entre les nationalistes.
La production en Corse commence à prendre de l'ampleur, et on a pu voir sortir, ces quelques dernières années, des films de qualité. Plusieurs sociétés de production, très professionnelles, existent désormais, à l'image de CORSESCA Production, dirigée par Pierre Pancrazi, et basée à Lucciana, grâce à laquelle vous pouvez aujourd'hui découvrir "La faille du Diable", un scénario de 26 minutes, inspiré d'un fait historique (la présence des carbonari en Corse dans les années 1830), et traité comme un polar ésotérique. Cette collaboration débouchera également, dans les deux prochaines années, sur la production d'un long métrage.
Corsesca Productions a, entre autres, gagné ses lettres de noblesse en co-produisant "L'homme de Londres", réalisé par Bela Tarr en 2006, et qui fût tourné, on s'en souvient, sur le Vieux-port de Bastia. Ce film a d'ailleurs été nominé au Festival de Cannes en 2007.
Récemment, l'équipe de Pierre Pancrazi a aussi produit un moyen métrage salué par la critique, "Assassins", écrit et réalisé par Laurent Simonpoli, le premier film que l'on ait osé faire sur la guerre entre les nationalistes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire