Tout vibre. Ce que perçoivent nos sens n’est jamais que vibration, captée puis transmise à nos neurones, et qui passant d’un hémisphère à l’autre, se transforme en information intelligible. La lumière et les couleurs : vibration. Les sons, les graves, les aigüs : vibration. Le toucher : deux vibrations qui se rencontrent. L’émotion : vibration, qui peut même se transformer en vague puissante. Mais toute vibration n’est pas perçue par l’être humain. Deux exemples que tout le monde connaît : les ultra-sons et les ultra-violets. Qui démontrent, si besoin était, que ce n’est pas parce que la vibration échappe à nos sens qu’elle n’existe pas.
Dans le silence, la vibration de la parole émerge du néant, germe et croît, en se propageant, en circulant. Le silence est écoute active, le silence est indispensable à la naissance de la réflexion, le silence permet au secret d’exister et d’éclôre, de prendre tout son sens. La parole naît du silence, le mouvement naît de l’immobilité. Dès lors, le silence et l’immobilité sont-ils absence de vibrations ? Non. Vibrations différentes. Et complémentaires des premières. De même que le blanc n’est pas absence de couleur, l’immobilité n’est pas absence de mouvement, le silence n’est pas absence de son. Silence et parole, immobilité et mouvement, deux aspects d’une même réalité, deux faces de la même pièce de monnaie, deux fréquences pour la même vibration. Comme la glace et la vapeur sont toujours le même élément.
S’il est désormais communément admis que le blanc est composé de toutes les autres couleurs, étendre le raisonnement au mouvement et au son peut laisser perplexe. Envisageons ceci : nous savons que nous évoluons dans un univers qui est lui-même en mouvement. Par conséquent, ce que nous appelons immbolilité est une immobilité relative. Pour atteindre une immobilité absolue, la vibration de la matière doit se synchroniser avec celle de l’univers, comme l’équilibriste sur son ballon, agite les bras et adapte ses mouvements à ceux de la sphère. Ainsi, pour atteindre l’immobilité absolue, celle de la sérénité, il faudrait que les vibrations de nos actes et celles de l’univers s’accordent dans une harmonie parfaite. De la même façon, ce silence intérieur dont un être humain a besoin pour se construire, c’est un silence plein, un silence en relief, un silence d’action et de lumière. Le silence produit par tous les sons, unis dans une harmonie parfaite. Non pas ensemble, mais unis. Au moment où leurs vibrations n’en forment plus qu’une.
Dans le silence, la vibration de la parole émerge du néant, germe et croît, en se propageant, en circulant. Le silence est écoute active, le silence est indispensable à la naissance de la réflexion, le silence permet au secret d’exister et d’éclôre, de prendre tout son sens. La parole naît du silence, le mouvement naît de l’immobilité. Dès lors, le silence et l’immobilité sont-ils absence de vibrations ? Non. Vibrations différentes. Et complémentaires des premières. De même que le blanc n’est pas absence de couleur, l’immobilité n’est pas absence de mouvement, le silence n’est pas absence de son. Silence et parole, immobilité et mouvement, deux aspects d’une même réalité, deux faces de la même pièce de monnaie, deux fréquences pour la même vibration. Comme la glace et la vapeur sont toujours le même élément.
S’il est désormais communément admis que le blanc est composé de toutes les autres couleurs, étendre le raisonnement au mouvement et au son peut laisser perplexe. Envisageons ceci : nous savons que nous évoluons dans un univers qui est lui-même en mouvement. Par conséquent, ce que nous appelons immbolilité est une immobilité relative. Pour atteindre une immobilité absolue, la vibration de la matière doit se synchroniser avec celle de l’univers, comme l’équilibriste sur son ballon, agite les bras et adapte ses mouvements à ceux de la sphère. Ainsi, pour atteindre l’immobilité absolue, celle de la sérénité, il faudrait que les vibrations de nos actes et celles de l’univers s’accordent dans une harmonie parfaite. De la même façon, ce silence intérieur dont un être humain a besoin pour se construire, c’est un silence plein, un silence en relief, un silence d’action et de lumière. Le silence produit par tous les sons, unis dans une harmonie parfaite. Non pas ensemble, mais unis. Au moment où leurs vibrations n’en forment plus qu’une.
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