Bien sûr, ça s'apprend le plus souvent sur le tas. Mais le souci c'est que le scénario n'est ni la narration du film, ni le film que l'on verra ensuite. Le scénario est un document de l'ombre, dont chaque élément se traduit, en images, d'une certaine façon. Apprendre les nuances et les codes symboliques qui régissent ce genre particulier permet de progresser plus rapidement, même si, évidemment, rien ne remplace l'expérience.
D'ailleurs, le premier à se réjouir du stage que j'ai suivi en octobre est mon producteur : 115 heures de formation intensive, projection d'extraits illustrant les thématiques étudiées, projection d'un long-métrage quotidien avec débats et analyses, écriture collective, écriture individuelle, entretiens personnalisés avec un coach scénariste, le tout sous le haut patronage du GREC, Groupement de Recherches et d'Études Cinématographiques, un organisme en relation étroite avec le CNC. À l'issue du stage, mon scénario, La faille du Diable, racontait toujours la même histoire, mais ce n'était plus le même film... Et j'ai également écrit un court-métrage d'une dizaine de minutes (bientôt en ligne), et deux très courts, que j'ai bien l'intention de réaliser moi-même.
Un stage en immersion, loin des apprentissages théoriques, qui a poussé les 15 stagiaires, issus de toutes les régions françaises, à donner le meilleur d'eux-mêmes, et à aller le chercher très loin, au creux de leurs tripes... Les frais de formation et d'hébergement des trois stagiaires insulaires, sélectionnés en août, par les responsables du GREC, à partir d'un dossier de candidature étoffé, ont été pris en charge par la CTC.
Les voici, de gauche à droite, Albane Fioretti, Hélène Mamberti, Ugo Casabianca, en compagnie de Michèle Humbert (debout), responsable du programme de projections du stage.
D'ailleurs, le premier à se réjouir du stage que j'ai suivi en octobre est mon producteur : 115 heures de formation intensive, projection d'extraits illustrant les thématiques étudiées, projection d'un long-métrage quotidien avec débats et analyses, écriture collective, écriture individuelle, entretiens personnalisés avec un coach scénariste, le tout sous le haut patronage du GREC, Groupement de Recherches et d'Études Cinématographiques, un organisme en relation étroite avec le CNC. À l'issue du stage, mon scénario, La faille du Diable, racontait toujours la même histoire, mais ce n'était plus le même film... Et j'ai également écrit un court-métrage d'une dizaine de minutes (bientôt en ligne), et deux très courts, que j'ai bien l'intention de réaliser moi-même.
Un stage en immersion, loin des apprentissages théoriques, qui a poussé les 15 stagiaires, issus de toutes les régions françaises, à donner le meilleur d'eux-mêmes, et à aller le chercher très loin, au creux de leurs tripes... Les frais de formation et d'hébergement des trois stagiaires insulaires, sélectionnés en août, par les responsables du GREC, à partir d'un dossier de candidature étoffé, ont été pris en charge par la CTC.
Les voici, de gauche à droite, Albane Fioretti, Hélène Mamberti, Ugo Casabianca, en compagnie de Michèle Humbert (debout), responsable du programme de projections du stage.
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